Mots Clé
Je vois quand même que grand nombre de mes visiteurs arrivent sur mon blog en cherchant "écolières japonaises" ou "fesses écolières japonaises"
Ah ah :)
Je vois quand même que grand nombre de mes visiteurs arrivent sur mon blog en cherchant "écolières japonaises" ou "fesses écolières japonaises"
Ah ah :)
Maître Tadokoro et son modèle Perrine :)
J'ai bien essayé une ou deux fois de le mettre moi-même à l'aide de jolis petits schémas, mais.... rien à faire, y a toujours un moment où tout tombe, j'ai des bouts de tissus qui pendent partout...
En pratique :
Le kimono est tout simplement magnifique, j'ai envie de l'accrocher à un cintre dans ma chambre.
Merci Haru !
Masques de Nô, par le maître japonais M. Aso
"La grande majorité du théâtre Nô met en scène des êtres surnaturels ou des revenants en queête de repos. Chants et déplacements très lents s'y entremêlent en une cérémonie tragique. Sophistication, raffinement et subtilité sont les maîtres mots de cet art. La présence à Strasbourg du grand maître M. Aso est un événement : il proposera au public une exposition de ses plus belles oeuvres et fabriqueras en temps réel de véritables masques de Nô."
J'étais déjà très étonnée d'apprendre que les masques sont en bois ; je les croyais en plâtre.
Les masques sont uniques, faits à partir du visage de celui qui va le porter. Le maître prépare donc des bouts de cartons (on les voit un tout petit peu en haut au dessus des outils sur la photo) avec les formes du nez, le front, la bouche etc...
Chaque masque peut prendre des expressions différentes selon son inclination, il nous en a fait la démonstration (penché en avant, de face etc...) et c'était presque magique !
Ca me fait penser que je n'ai pas fait d'article sur la pièce qu'on était allé voir...Soon !
"Les Kôdan sont des récits rythmés remontant à l'époque d'Edo. Kanda Kurenai est une des première femmes dans le genre et fait preuve d'une grande originalité. L'histoire d'aujourd'hui présente la vie de l'actrice Sadayakko qui fut la première actrice du Japon lors de l'Exposition Universelle de 1900."
Apparemment grande star de la télévision au Japon, des fans (japonais) étaient venus l'applaudir. C'était d'ailleurs les seuls à rire pendant le spectacle, parce que nous, on comprenait rien ; derrière elle, sur un écran, était projeté un résumé en français de ce qu'elle racontait, laissant donc l'humour de côté...Dommage !
Elle nous a expliqué (en français tout à fait honorable !) le principe : quand elle tapait 3 fois de suite avec son éventail sur sa petite table, nous devions applaudir.
Lundi, soirée Japan Week au conservatoire. Il fallait des billets pour pouvoir y assister, sauf que nous n'en avions pas (!!) on a donc fait la queue dans la file "sans billet" 1h à l'avance pour essayer d'y rentrer après que les "avec billets" soient tous installés.
Je fais dans le désordre. Ici, je vais vous parler de "L'Atelier Ayahata".
"Mme Ayahata est professeur de kimono et a vécu en France durant de longues années. Elle présente un spectacle de kimono avec Kanda Kurenai."
Petite démonstration d'environ 30min sur trois différentes façons de porter le obi pour les femmes, et une démonstration sur un homme. Les démos se sont faites sur des petits français, avec un fond sonore plutôt sympathique. Mme Ayahata était toute mignonne et rigolote.
On n'avait pas prévu les jumelles qui auraient été utiles, dommage.
Ca m'a donné envie de réessayer le mien. J'ai tenté une fois, seule, de le mettre, ça n'a pas donné grand chose.
Le thème principal de la cérémonie était les arts martiaux. Les danses et les tambours n'étaient que des "intermèdes".
Des clubs français et japonais ont, tour à tour, fait des petites démo de combats à mains nues, avec sabres ou encore avec bâtons.
Je pense que pour les connaisseurs ça devait être très intéressant (des "stars" étaient présentes en plus...) mais pour les autres (donc je fais partie) c'était un peu trop endormant.
On pourra retenir ceci :
"A l'origine, les Chindon sont des musiciens déguisés chargés de faire grand bruit devant les magasins pour attirer les clients."
Ils étaient là pour nous accueillir et pour nous distribuer des ballons (enfin, "nous" = les enfants...même si j'avoue que j'en voulais un) à la fin de la Cérémonie.
Ils sont trop mignons ! Ils ont du avoir bien froid, il neigeait !
"Les tambours de Nita représentent les flammes qui sortent du fourneau tatara, lors de la production d'acier. Depuis plus de 15 ans, ces 22 joueurs de taïko enflamment les foules."
Impressionnant, des morceaux de pratiquement 10 minutes, une force pas croyable. C'est marrant les petits cris qu'ils poussent de temps à autre...
J'ai fait un petit medley des vidéos que j'ai faite, la première partie fait tout à fait penser à des flammes jaillissantes. La dernière partie est plus joyeuse, c'est pour enfin se détendre !!
"Il y a 370ans, lorsque le shogun Tokugawa vint à Kyoto, les filles de la ville lui offrirent une danse de bienvenue appelée Komachiodori. Ce groupe de 15 jeunes danseuses en kimono et autres vêtements traditionnels réinvente avec talent ces danses traditionnelles".
On peut dire qu'elles réinventent la danse traditionnelle : la musique (avec bonnes basses boum boum), les mouvements, les kimonos (bien flash) n'avaient rien à voir avec le NihonBuyo.